Projet fier & Projet Gadi
Nos Filleuls
Pays d’une beauté époustouflante, l’Albanie contrebalance son charme par des infrastructures délabrées héritées de la période enveriste (du nom d’Enver Hodja, l’ancien dictateur stalinien mort en 1985), une organisation politique fragile et le poids encore important des structures claniques dans son organisation sociale.
En Albanie, des routes délabrées mènent encore à des centres industriels à l’abandon ou à des puits de pétrole arrêtés et rouillés, que protègent des bunkers jamais utilisés. De 1945 à 1992, le petit pays a connu ce qui fut vraisemblablement la dictature la plus fermée et la plus rigide d’Europe. Corollaire : l’héritage communiste, la pauvreté omniprésente, le manque d’habitude dans les relations avec l’étranger, une économie publique plombée par la dette, les déficits commerciaux ou de l’Etat et un secteur privé d’où la vision à long terme est absente sont autant d’obstacles que les Albanais doivent surmonter pour atteindre leur équilibre.
Pays d’une beauté époustouflante, l’Albanie contrebalance son charme par des infrastructures délabrées héritées de la période enveriste (du nom d’Enver Hodja, l’ancien dictateur stalinien mort en 1985), une organisation politique fragile et le poids encore important des structures claniques dans son organisation sociale.
En Albanie, des routes délabrées mènent encore à des centres industriels à l’abandon ou à des puits de pétrole arrêtés et rouillés, que protègent des bunkers jamais utilisés. De 1945 à 1992, le petit pays a connu ce qui fut vraisemblablement la dictature la plus fermée et la plus rigide d’Europe. Corollaire : l’héritage communiste, la pauvreté omniprésente, le manque d’habitude dans les relations avec l’étranger, une économie publique plombée par la dette, les déficits commerciaux ou de l’Etat et un secteur privé d’où la vision à long terme est absente sont autant d’obstacles que les Albanais doivent surmonter pour atteindre leur équilibre.